Digital : nos énarques sont-ils des bons à rien, prêts à tout ?
L’ENA aurait-elle, un wagon de retard ?
Lors d’un récent meeting entre les étudiants de l’ENA et les entreprises telles que Blablacar, Captain Train, le thème du digital a été abordé. Et il semblerait que l’école de Churchill ne soit plus totalement à la page… Peut-être devraient ils prendre des cours chez notre agence de développeur Web Orléans !
« Ils doivent être les start-uppeurs de l’Etat» LOL
Face aux questions parfois gênantes des journalistes du genre « Est-ce que vous pensez que l’ENA est trop coupée de la nouvelle économie ? » la directrice des énarques semble un peu perdue concernant les capacités de ses étudiants concernant le digital. En effet, l’école prédispose principalement ses jeunes prodiges à des stages dans les administrations, des préfectures et non dans des starts-up bercées par le Web. Il s’agit de 2 univers totalement différents, mais nous ne sommes pas sans savoir que le Web aura le dernier mot, peu importe la structure. Hors depuis l’arrivée du digital, toutes les institutions publiques ou privées, sont amenées à se modifier. C’est un virage qui ne semble pas forcément évident à prendre pour ces étudiants « vieille école ».
Comme certains témoignent « Chacun est dans son rôle. Ce n’est pas le rôle du haut fonctionnaire d’être un geek, mais c’est son rôle de prendre en considération les besoins des jeunes entrepreneurs et start-uppers ». En d’autres termes, les aigles ne volent pas avec les pigeons. Si ce discours témoigne d’une prétention certaine, c’est aussi le moyen de se « justifier » d’un manque de connaissances sur le digital. C’est pourquoi le paradoxe semble assez flagrant, les jeunes prodiges pourraient avoir quelques mises à jour à effectuer si ils veulent rester dans le mouvement.
Chef d’entreprise : tu en as marre d’être démarché par téléphone, voici la solution ultime !
Commander des produits hors stock avec PrestaShop
Pingback: Comment bien utiliser twitter ? | Pub'n'Drive // Web & Réseaux sociaux